Avocats
pénalistes
Paris · Marseille
Cabinet
Feste Guidon Avocats : cabinet d’avocats pénalistes
Le cabinet offre à ses clients – des sociétés françaises ou étrangères, des dirigeants sociaux ou de simples particuliers – une prestation sur mesure alliant analyse stratégique du dossier, préparation extensive à l’audience, argumentaires et plaidoiries.
Le cabinet accompagne ses clients, qu’ils soient mis en cause ou victimes, à tous les stades de la procédure (enquête, instruction, jugement), face à toutes les mesures d’investigation (garde à vue, perquisition) et devant toutes les juridictions pénales (Tribunal correctionnel, Cour criminelle, Cour d’assises) ainsi que devant les instances disciplinaires et les autorités de régulation.
Le cabinet offre une expertise spécifique en droit pénal des affaires.
Il intervient dans tous les domaines du droit pénal (vols, agressions, criminalité organisée, etc.) et propose une expertise spécifique en droit pénal des affaires. Il apporte tout particulièrement son savoir-faire dans les contentieux pénaux du monde de l’entreprise (accidents du travail, délit d’entrave, travail dissimulé, etc.), de la commande publique (favoritisme, prise illégale d’intérêts, corruption, etc.) ou de la santé (escroquerie à la sécurité sociale, blessures involontaires, etc.).
Le cabinet Feste-Guidon Avocat offre sa compétence dans le domaine novateur du droit pénal fiscal (fraude fiscale aggravée, blanchiment, etc.) et collabore à ce titre étroitement avec des avocats spécialistes de la matière fiscale afin d’assurer une parfaite coordination entre les volets pénaux et fiscaux et d’harmoniser les stratégies de défense.
L’expertise d’avocats pénalistes
Correspondant à Marseille et en région SUD de Jean-Yves Le Borgne, ancien Bâtonnier de Paris, et de Christian Saint-Palais, ancien Président de l’Association des avocats pénalistes (ADAP), le cabinet dispose également d’un bureau secondaire à Paris, ce qui lui permet une grande réactivité dans les enquêtes menées par les structures centralisées du Parquet National Financier ou des Procureurs Européens Délégués.
Avocats pénalistes
Armand Feste-Guidon
Avocat pénaliste associé | Paris et Marseille
Armand Feste-Guidon a parfait sa pratique pénale d’avocat en collaborant pendant plusieurs années à Paris avec Jean-Yves Le Borgne et Christian Saint-Palais ainsi qu’avec Daniel Soulez-Larivière, tout en développant une perspective fine de la criminalité organisée grâce à une expérience auprès du Parquet de Paris.
Il est diplômé de Sciences Po Paris (master Carrières judiciaires et juridiques, 2011) ainsi que de de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne (master 2 Droit pénal et politique criminelle, 2014).
Il a vécu au Canada et en Allemagne.
Armand Feste-Guidon assiste ses clients en français, en anglais et en allemand.
Chargé d’enseignement au sein de l’Université Paris II Panthéon-Assas, Armand Feste-Guidon est également vice-président de l’association des Alumni du Paris Bar Inns of Court Exchange (PBIE) au sein de laquelle il entretient un lien étroit avec les barristers londoniens.
Membre du réseau de SciencesPo Paris Alumni, de l’Association des Avocats Pénalistes (ADAP) et de l’Institut de Droit Pénal Fiscal et Financier (IDPF2), il est particulièrement sensible aux évolutions de la matière pénale.
Il s’investit en outre dans des actions de mécénat, et tout particulièrement au sein du programme de mentorat de Télémaque, association reconnue d’utilité publique à destination de jeunes issus de territoires fragiles.
Armand Feste-Guidon intervient auprès de ses clients aussi bien en français, en anglais qu’en allemand.
Djamel Belhaouci
Avocat pénaliste | Paris et Marseille
Djamel Belhaouci a débuté sa carrière professionnelle en rejoignant une start-up dans le domaine de l’intelligence artificielle à Aix-en-Provence pour ensuite travailler au sein du cabinet d’avocats Preziosi- Ceccaldi-Albenois spécialisé dans la défense des victimes d’infractions.
Il a en outre suivi la formation de cyberdéfense pour les entités privées et publiques dispensée par l’Ecole d’ingénieur de l’Université de Bretagne Sud.
L’association de compétences en cybersécurité et en droit pénal lui confère une expertise dans la gestion des affaires complexes liées à la cybercriminalité, et à la défense des intérêts tant des personnes physiques que morales.
Djamel Belhaouci intervient en français, allemand, anglais et luxembourgeois.
publications
Il est temps de « restaurer notre secret professionnel »
Dès sa prise de fonctions, le nouveau Ministre de la Justice annonçait vouloir « restaurer le secret professionnel des avocats ». Si le barreau unanime attend une intervention législative forte dans ce domaine, il ne faudra pas négliger la résistance des contempteurs du secret, gavés de télé-réalité, rêvant de micros et lumières à tous les étages, organisant la transparence jusqu’à enregistrer clandestinement des conversations privées sous couvert de « journalisme d’investigation »…
L’immatérialité d’une procédure pénale
Le risque pénal fait désormais partie de la vie des affaires. Qu’elles soient relatives à l’usage des biens de l’entreprise, aux comportements à l’égard des salariés, à l’atteinte potentielle à l’environnement, les incriminations ne manquent pas et se multiplient. C’est l’esprit du temps…
HONORAIRES
Des honoraires fixés en fonction
de la complexité et de l’urgence des dossiers.
La question des honoraires est abordée en toute transparence dès le premier rendez-vous. Le cabinet peut proposer un devis du coût estimé de son intervention à la demande des clients.
La détermination des honoraires dépend de la complexité des dossiers et de l’urgence ; ils sont fixés :
- soit selon un tarif horaire, éventuellement assorti d’un plafond ;
- soit selon un tarif forfaitaire.
Peuvent également s’ajouter d’éventuels frais de procédure susceptibles d’être exposés (frais d’huissier, frais d’expertise, etc.).
Après la conclusion d’une convention d’honoraires, le cabinet pourra apporter son assistance. Dès l’ouverture du dossier, une provision sur honoraires lui permettra d’accomplir les diligences les plus impératives.
Dans le cas d’une protection juridique, il est nécessaire de rappeler que les clients conservent toujours le choix de leur avocat sans que leur assureur ne puisse leur en imposer un.